L'Hydravion radio-commandé
Article de notre parapentiste et modéliste Erick
Eté 2003

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L’atterrissage :

On axe sur le vent, qui le matin vient de la plage (la brise de lac se lève beaucoup plus tard) et réduction des gaz.
Un petit rebond caractéristique d’un surplus de vitesse et

YESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS !

Mon premier hydravion a volé et croyez-moi cela ne sera pas le dernier.

 

 

 

 

 

 

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Le vol :

c’est celui d’un deux axes léger.
Un peu d’inertie dans les virages, sensible aux sautes de vent.

Plein gaz, l’aile haute et le couple de l’hélice se font sentir et je suis obligé de corriger à la direction et à la profondeur. (il faudra revoir le calage du moteur !)
Cependant, cela n’a pas grand intérêt car la traînée engendrée par les flotteurs freine pas mal l’avion.

Le vol s’effectue donc à mi-gaz et dans ces conditions j’obtiens dix minutes de vol avec 2 décollages de l’eau. Après il reste des électrons pour poursuivre le vol mais le déjaugeage devient impossible et il faut lancer le Piaf à la main.